Cérémonie du souvenir au cimetière St Pierre d'Aix-en-Provence 18 octobre 2014 avec deux  bonnes nouvelles  et une mauvaise nouvelle.

L’association qui  organise chaque année un rassemblement devant le monument et cela depuis 1965.

Sur le monument le texte suivant : Le tombeau des morts c’est le cœur des vivants.

Cette pierre est le tout premier MEMORIAL créé en France pour les Rapatriés.

Elle avait été créée à l’initiative d’un Officier Français, le Commandant Jean DAUBOUY, ému lui, un Métropolitain, du désarroi des Pieds Noirs dont les morts étaient enterrés de l’autre côté de la Méditerranée et qui ne disposaient pas de lieu pour se recueillir à la Toussaint.
L’emplacement sur lequel ce Monument serait construit, a été choisi par le Maire de l’époque, Monsieur Henry MOURET. Il voulait que l’endroit se situe à l’entrée même du cimetière afin que « toutes les personnes qui y entreraient le voient »
Le Monument a été dessiné par l’architecte HAAS et construit par de nombreux bénévoles (entreprises et artisans)

Ce monument fut inauguré le 22 octobre 1965.

Le fait qu’il soit le premier de ce genre en France, le fit baptiser par ses fondateurs, non sans emphase « Mémorial National »

Ce monument symbolise toutes les tombes, de toutes les confessions religieuses, laissées en Algérie. Depuis la création, chaque année, sans interruption, une cérémonie est célébrée le 3ème samedi du mois d’octobre.

Il m’est impossible de vous parler de la cérémonie sans doute réservée pour les amis de l’UMP et du Parti Socialiste.

La première bonne nouvelle  en observant de loin c’est la reprise par le petit fils de René Andrés du flambeau.

La deuxième  bonne nouvelle la présence du député Christian Kert à la cérémonie, avec félicitations d’usage pour le projet de loi N°2275 du 14 octobre 2014 pour la reconnaissance officielle de la responsabilité de l'État français dans le drame du 26 mars 1962, rue d'Isly, au cours de la guerre d'Algérie. | Lire la suite |


Le député Christian Kert surpris de recevoir des félicitations pour le projet de loi N°2275.

La mauvaise nouvelle la présence du candidat aux élections municipales Édouard Baldo mais surtout de la suppléante du député d’Aix  Jean David Ciot Noëlle Ciccolini-Jouffret celui sui vote toujours contre les Français d'Algérie.


Le candidat PS aux élections municipales d’Aix en Provence Edouard Baldo
et la suppléante du député PS d'aix en provence Jean David Ciot Noëlle Ciccolini-Jouffret.

Rappel


- Vote de Jean David Ciot le 29 novembre 2013 contre , l’article 33 qui entendait  rétablir, à l’article 9 de la loi no 87-549 du 16 juillet 1987, la mention « de statut civil de droit local », afin de limiter aux seules formations supplétives relevant de ce statut le bénéfice de l’attribution de l’allocation de reconnaissance aux membres des formations supplétives engagées aux côtés de l’armée française lors de la guerre d’Algérie.
| Lire la suite |

- Sans doute vote de Jean David Ciot contre la proposition de loi N°1869 9 avril 2014 - Pour l'abrogation de L’article 52 de la loi n° 2013-1168 du 18 décembre 2013 relative à la programmation militaire pour les années 2014 à 2019 et portant diverses dispositions concernant la défense et la sécurité nationale est abrogé.- | Lire la suite |

Vote de Jean David Ciot le 17 juin 2014 à l'Assemblée nationale contre une résolution en faveur des rapatriés d’Algérie.
L'Assemblée a rejeté le mardi 17 juin 2014, par 222 voix contre 196, la proposition de résolution UMP faveur des rapatriés d'Algérie présentée par M. Élie ABOUD, député.
| Lire la suite |

Vote de Jean David Ciot sans doute contre le projet de loi N°2275 du 14 octobre 2014 pour la reconnaissance officielle de la responsabilité de l'État français dans le drame du 26 mars 1962, rue d'Isly, au cours de la guerre d'Algérie. | Lire la suite |

Honte pour l’invitation de ces deux falsos.

Finalement je me suis retrouvé tout seul, ils étaient partis pour le banquet , et de profiter de cet instant pour saisir la photo de la gerbe de la honte.


Les roses rouges de Jean David Ciot député d’Aix en Provence.


Le député PS Jean David Ciot au tribunal correctionnel de Marseille lundi dernier le 13 octobre 2014 avec Mémé Guerini .

Six mois d’emprisonnement avec sursis, une amende de 15 000 euros et un an d’inéligibilité ont été requis, lundi 13 octobre, contre Jean-Noël Guérini, sénateur et président (ex-PS) du conseil général des Bouches-du-Rhône, et contre Jean-David Ciot, député et actuel premier secrétaire de la fédération socialiste des Bouches-du-Rhône.