Lettre à Renaud BACHY - au sujet de la diffusion par la chaine de France FLN visions France 3 dirigée par une imbécile Geneviève Giard, et par une grosse imbécile Muriel Rosé responsable de l'unité documentaire de France 3 " Les porteuses de feu "

 
 
 



       
   

26/01/2008 - Lettre à Renaud BACHY -

Monsieur le Président,

Il est encore temps, pour vous, de peser de tout votre poids sur les instances gouvernementales, voire directement sur la Présidence de la République, afin d'empêcher la diffusion sur France 3, chaîne d'Etat, d'une véritable apologie de crimes de guerre, " Les porteuses de feu " éloge des poseuses de bombes du FLN !

A notre connaissance, on n'a encore jamais vu diffuser sur les chaînes de télévision françaises une apologie des crimes nazis durant la Shoah !

 
Renaud Bachy
Président du mir
 
Au nom de notre amie Nicole Guiraud, emblême de toutes les victimes innocentes de ce terrorisme aveugle, comme au nom des milliers d'adhérents que nous représentons, nous faisons appel à vos qualités d'homme de coeur pour empêcher, à tout prix, cette scandaleuse diffusion.

En pièce jointe, vous trouverez l'analyse objective du terrorisme FLN et des carnages perpétrés par les attentats urbains en Algérie, extraite de notre ouvrage "NOUVEAU LIVRE BLANC SUR UN CRIME D'ETAT" dont nous vous avons envoyé un exemplaire à parution.

Connaissant les valeurs humaines dont vous avez toujours fait preuve, nous sommes certains, Monsieur le Président, que vous agirez rapidement pour empêcher cette nouvelle infamie.

Mettant tous nos espoirs en votre intervention,
Nous vous prions d'agréer, Monsieur le Président, l'expression de nos sentiments les meilleurs.

Pour le Comité VERITAS : Le Président : Joseph HATTAB-PACHA
La Déléguée générale : Anne CAZAL
 

"C’était le temps d’un terrorisme urbain incommensurable, sacrilège, particulièrement lorsqu’il touchait des gamins dans les trolleybus, les bus scolaires, à la sortie des écoles, ou dans tous les lieux publics, mais, au Milk Bar, cette célèbre pâtisserie algéroise qui faisait les délices des bambins, l’attentat a été particulièrement atroce, parce que, justement, les terroristes ont visé le cœur de la population, en ses biens les plus précieux : ses enfants !

Les objectifs des terroristes ont été soigneusement choisis : en rentrant de la plage, les étudiants se retrouvaient à la Cafétéria, rue Michelet, tandis que les petits traînaient leurs parents vers le Milk Bar, place Bugeaud, pour déguster les glaces qu’ils trouvaient les meilleures. Qui pouvait résister aux mimiques gourmandes des tout petits ?…

Personne ne savait que, ce jour-là, trois jeunes filles, en tenue printanière, trois anges de la mort, tenaient entre leurs mains, le bonheur fragile de nos enfants… Djemila Bouhired (à laquelle l’Académie Française a « rendu honneur » par la voix de M. Pierre-Jean Rémy), Zohra Drif (qualifiée « d’héroïne » à la télévision française par Mme Arlette Chabot) et Samia Lakhdari, s’apprêtaient à tuer, sans pitié, des innocents trop jeunes pour comprendre ce combat terroriste qui dévidait autour d’eux ses fils meurtriers, sans qu’ils s’en rendent compte…

Nos enfants, ce jour-là, souriaient à la vie, et leur sourire s’est soudain figé dans l’explosion, car, les terroristes en herbe n’ont pas reculé… Elles devaient tuer, elles ont tué, et leur conscience ne s’est pas troublée pour autant… Lorsqu’elles ont déposé, subrepticement leurs bombes, elles n’ont pas songé un seul instant à ce qu’allaient devenir les têtes bouclées de nos bambins lorsque leurs membres seraient pulvérisés par le souffle de l’explosion, lorsque leur chair tendre serait laminés par les éclats des vitres et des glaces…

Leurs victimes avaient huit ans, dix ans treize ans, seize ans, vingt ans… Nicole Guiraud, mutilée à vie, a survécu…
Mais son sort est-il plus enviable que celui de ceux qui sont restés à terre ? Nous ne le croyons pas, car nous savons ce qu’elle endure encore, à l’heure actuelle, malgré son courage et sa détermination à lutter pour que ces vérités soient dites.

Mais le pire restait à venir… Voici pourquoi les poseuses de bombes n’ont pas flanché .Ce que nous venons de décrire n’est une infime partie de cette horreur qui a fait sortir la lutte de toute mesure humaine, parce qu’elle devait neutraliser et faire basculer, par la terreur, une population toute entière.

Le premier des principes de ces terroristes n’était-il pas, justement, de frapper des innocents ?… C’est le supplice de l’innocent, atteint dans sa fragilité et dans sa candeur, qui engendre, chez l’homme, la véritable terreur, celle qui ouvre la voie à la soumission.

Le second de leurs principes imposait une cruauté sanguinaire, sadique, souvent aggravées par le recours à des monstruosités sexuelles, les femmes, même les plus jeunes fillettes étant systématiquement violées avant d’être mises à mort, les femmes enceintes éviscérées, les hommes, particulièrement les Français musulmans, mais aussi les soldats, de carrière ou jeunes appelés, ont été abominablement mutilés et suppliciés, écartelés, bouillis, écorchés vifs.

Le troisième de leurs principes résidait dans l’ampleur des massacres. Pendant les huit ans de cette guerre terroriste, ce sont des centaines de milliers d’êtres humains qui ont été mis à mort, le plus souvent après avoir été suppliciés : terrorisme urbain avec ses attentats individuels et ses bombes dont chacune a tué ou mutilé des dizaines de personnes, hommes, femmes et enfants, de toutes ethnies ; terrorisme rural, non seulement dans les fermes ou les villages européens, mais aussi dans les douars et les mechtas où pas un seul être humain n’a été retrouvé vivant…"