Pour Bouteflika la loi des Rapatriés du 23 fevrier 2005
est irrecevable dans le fond et dans la forme.

 
 
     
 
         


L
e président de la République Bouteflika n’en démord pas. La loi sur les aspects positifs de la colonisation votée par le parlement Français est irrecevable dans le fond et dans la forme. Les deux pays (la France et l’Algérie) ne sont peut-être pas prêts à tourner la page et oublier le passé. Par conséquent, on peut dire que le traité d’amitié, ce n’est peut-être pas pour demain. L’opinion algérienne ne connaît pas tous les dessous de la diplomatie secrète entre les deux pays.
Nous allons sans doute vers une repentance lointaine de la part de Jacques Chirac et le règlement du retour des Harkis malgré les gesticulations de Bouteflika pour la population intérieure.
Il existe une très forte communauté algérienne en France qui est un bon moyen de pression sur l'Algérie.
Il est vrai que l’écriture de l’histoire est d’abord affaire d’historiens non marxistes capables d'examiner sereinement l'histoire commune des deux pays pas comme les excités de la bande des professeurs émérites et leurs comparses. Chirac va peut être faire acte repentance alors que la France pleure sur le génocide arménien et demande pardon aux Juifs, à la population de Madagascar qui ne demandait rien il peut continuer tout seul dans sa repentance à sens unique.

 
 

   
           
   
Les intellectuels d'extrême gauche ont condamné avec force la loi du 23 février 2005 et adoptent une attitude semblable, bien que symétrique.
En s’évertuant à démontrer partout et toujours la culpabilité de la France, ils ne sont pas plus respectueux que leurs prédécesseurs de cette neutralité historique qu’ils revendiquent pourtant !