LA TORTURE MISE EN PLACE SUR RADIO FRANCE PROVENCE
AU SUJET DE LA BATAILLE D'ALGER LE 7 JANVIER 2007
 
        TORTURE MISE EN PLACE SUR RADIO FRANCE PROVENCE  


Victime Marius Masse



Les journaleux de
Radio France Provence

RAPPEL

Le 7 janvier 1957, 8 000 parachutistes entrent dans la ville d'Alger. Ils sont commandés par le général Massu, à qui Robert Lacoste, ministre résident socialiste en Algérie, vient de confier les pleins pouvoirs. La 10e DP division parachutiste arrive en Algérie après un séjour à Suez, Robert Lacoste remplace la police et la justice par des militaires , Il utilise pour cela la loi sur les pouvoirs spéciaux votée en mars 1956 à l'initiative du gouvernement dirigé par Guy Mollet (SFIO). Le texte avait été adopté par l'ensemble des partis, dont le PC.
La réplique à l'entrée de l'armée dans la ville, ce sont les attentats aveugles contre les Européens, causant des dizaines de victimes. Début février, les explosions au stade municipal d'Alger et au stade d'El-Biar font 10 morts et 34 blessés ; en juin, l'attentat au casino de la Corniche tue 8 personnes et en blesse une centaine. Le 26 janvier, des bombes avaient explosé dans trois cafés de la ville, faisant 5 morts et 34 blessés.

 
         

LA MISE EN ACCUSATION DU JOURNALISTE DE QUARTIER

 
 

Pour notre journaliste de pacotille les hommes de Massu procèdent à des arrestations massives pour débusquer les militants du FLN, qui sont environ 5 000. Massu quadrille la ville avec ses troupes. Les quartiers sont bouclés. Et, en utilisant les fichiers de la police, les paras interpellent des suspects par centaines avant de les regrouper dans des centres de triage, qui vont devenir de véritables centres de torture, le mot est lâché par le journaliste complice du FLN, il faut cuisiner l'ancien député Marius Masse.
Et c'est la mise mal à l'aise de Marius Masse, ancien député (PS) des Bouches-du-Rhône, dans un entretien téléphonique avec le journaliste Falso-révisionniste de service ce 7 janvier 2007.

Le député PS doit avouer qu'il a assisté à des tortures pendant son service militaire à Alger, et notre journaleux de revenir sans cesse, sur les affirmations toutes faites.
L'ancien député de se défendre, pendant son service militaire et pendant la bataille d'Alger il n'a pas vu de tortures, au grand dépit du journaleux.
C'était la torture en direct avec un micro d'un ancien député du P. S , par un journaliste incapable et salopard de Radio France Provence politiquement correct.

   
La victime Marius Masse