Le secrétaire d’État de l’Action et des comptes publics français à Alger Olivier Dussopt rencontre ses complices du FLN à Alger.
Le membre du PS version gauchosphère avait signé un projet de loi le 26 octobre 2016 pour le FLN et avait refusé de signer un projet de loi pour les Francais d’Algérie victimes du FLN « les disparus de juillet 1962 », un très gros dégueulasse.


ASSEMBLÉE NATIONALE
CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958
QUATORZIÈME LÉGISLATURE


Enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale le 26 octobre 2016.


PROPOSITION DE LOI


relative à la reconnaissance du massacre des Algériens du 17 octobre 1961 à Paris,
(Renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République, à défaut de constitution d’une commission spéciale dans les délais prévus par les articles 30 et 31 du Règlement.)
EXPOSÉ DES MOTIFS
Mesdames, Messieurs,
Le 17 octobre 1961, des Algériens qui manifestaient à Paris pour le droit à l’indépendance de leur pays ont été l’objet d’une terrible répression par la police française conduite sous l’autorité de Maurice Papon.


Le  Secrétaire d’État auprès du Ministre français de l’action et des Comptes publics, Olivier Dussopt effectue lundi 18 juin 2018 et mardi 19 juin 2018 une visite en Algérie, a annoncé l’ambassade de France à Alger dans un communiqué.
Au menu de la visite du ministre français "la reconduction de l’Accord de Coopération sur la Fonction publique, entre la Direction générale de la Fonction publique et de la Réforme administrative algérienne (DGFPRA) et la Direction générale de l’Administration


Olivier Dussopt, est un homme politique français spécialiste de la trahison

Membre du Parti socialiste jusqu'en 2017, député de la deuxième circonscription de l'Ardèche, Il est secrétaire d'État depuis le 24 novembre 2017 dans le gouvernement Philippe II.


En juillet 2017, dans le cadre du projet de loi organique rétablissant la confiance dans l'action publique, Olivier Dussopt soutient un amendement, soutenu de longue date par la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra) et finalement adopté, qui enrichit le Code pénal d'une peine d'inéligibilité applicable aux personnes reconnues coupables de racisme, d'antisémitisme, de négationnisme, d'homophobie, d'incitation au terrorisme, d'apologie de crime contre l'humanité et de toute forme de discrimination.


Le 24 novembre 2017, il est nommé secrétaire d'État auprès du ministre de l'Action et des Comptes publics, au sein du gouvernement Édouard Philippe. Si le décret de nomination ne précise pas son portefeuille exact, il est présenté par la presse comme de facto chargé de la Fonction publique.


Le jour même, le Parti socialiste annonce qu'il n'en est plus membre.

Trois jours auparavant, il avait voté contre le budget présenté par le gouvernement et, les mois précédents, s'était abstenu lors du vote de confiance au gouvernement, avait voté un contreprojet de loi de financement de la sécurité sociale ainsi que contre la loi Travail, Il s'était également fait remarquer en 2014 pour avoir critiqué le ministre de l'Économie de l'époque, Emmanuel Macron, lors de sa déclaration jugée condescendante à l'égard des ouvrières de Gad, qualifiées « d'illettrées ».