Rachida Tir la suppléante du député LREM, des Bouches-du-Rhone Saïd Ahamada comme Emmanuel Macron crache contre les victimes Françaises du 1er novembre 1954 en Algérie.

 


Voici ce qu’elle a posté le 1er novembre 2017 :
sur FaceBook https://www.facebook.com/photo.php?fbid=719608438249281&set=ecnf.100006003937530&type=3&theater

 Suppléante & assistante du député LREM Said Ahamada

Traduction : 1er novembre 1954, 63e anniversaire du début de la révolution


Rappel Historique

Divisés en plusieurs partis, dont le MTLD de Messali Hadj et l’UDMA de Ferhat Abbas, ils forment au printemps 1954 un Comité révolutionnaire d’union et d’action (CRUA). Celui-ci choisit la date du 1er novembre pour déclencher l’insurrection. Une trentaine d’attentats plus ou moins désordonnés ont lieu en ce jour de la Toussaint : récoltes incendiées, gendarmerie bombardée…

On compte au total dix morts (*). Les deux premières victimes, assassinées la veille de la Toussaint, sont deux Français d’Algérie : un chauffeur de taxi de confession juive, Georges-Samuel Azoulay et Laurent François, libéré depuis 6 mois du service militaire. Les autres victimes sont l’agent forestier François Braun, l’agent de police Haroun Ahmed Ben Amar et quatre appelés : le soldat Pierre Audat et le brigadier-chef Eugène Cochet, tués en pleine nuit dans le poste de Batna, dans le massif des Aurès, ainsi qu’André Marquet et le lieutenant Darneaud. Sont également tués le caïd Ben Hadj Sadok et Guy Monnerot, qui voyageaient ensemble.

L’instituteur Guy Monnerot et sa femmeLa mort de ce dernier émeut plus particulièrement l’opinion. Ce jeune instituteur est venu de la métropole avec son épouse pour instruire les enfants du bled. Leur autocar est attaqué dans les gorges de Tighanimine. Ils sont extraits du véhicule ainsi que les autres passagers et touchés par une rafale de mitrailleuse destinée au caïd Hadj Sadok.

Guy Monnerot succombe sur le champ mais sa femme Jeanine survivra à ses blessures. Les meurtriers des deux Français auraient enfreint l’ordre de ne tuer que le caïd, membre de l’élite musulmane francophile. Ils auraient été plus tard sanctionnés par leurs chefs.
(Merci à Sebastien)


Saïd Ahamada, né le 7 novembre 1972 à Saint-Denis de La Réunion, est un homme politique français.

Le 18 juin 2017, il est élu député de la 7e circonscription des Bouches-du-Rhône pour LREM, avec 58,39 % des voix. Il devient ce faisant « le premier député issu de l'immigration comorienne ».
Enfant de la cité La Solidarité des quartiers Nord de Marseille, Saïd Ahamada est conseiller d'arrondissement élu sur la liste de la socialiste Samia Ghali en 2014.
Après avoir adhéré au MoDem, en 2007, et s'être présenté sous l'étiquette EELV lors des élections législatives de 2012 à Mayotte, il rejoint en 2016 le mouvement En marche ! et est élu député de Marseille, dans la 7e circonscription des Bouches-du-Rhône, contre une candidate du Front national le 18 juin 2017.
Diplôme d’un master en finance, il travaille moins de dix ans dans l’accompagnement à la création d’entreprise. Puis il réoriente sa carrière, en postulant par voie de concours dans la fonction publique, et débute une carrière à la Caisse des dépôts et consignations (CDC), puis à un poste de direction générale à Avignon.



Saïd Ahamada et Rachida Tir – DR RPweb

Source : http://www.fdesouche.com/936585-page-facebook-lassistante-parlementaire-depute-lrem-said-ahamada-celebre-massacres-de-toussaint-rouge-debut-de-guerre-dalgerie