Second tour des Municipales à Aix : trois candidats dont la candidate LREM la nausébonde Anne - Laurence - Petel -
         
 
ANNE LAURENCE PETEL - Approuve propos de Macron sur le génocide de la France en Algérie refuse de signer tous les projets de lois en faveur des victimes françaises en Algérie approuve la reconnaissance de la responsabilité de l'état dans la mort du traître Maurice Audin refuse d'assister à Aix en Provence aux cérémonies en mémoire des victimes Françaises du 26 mars 1962 à Alger et 5 juillet 1962 à Oran approuve propos Macron qui compare «la guerre d’Algérie» à la Shoah
 

À Aix-en-Provence le second tour se fera à trois le dimanche 28 juin 2020.


Au soir du premier tour c’est la candidate maire sortante Maryse Joissains qui arrivait en tête avec 30.28% des suffrages, malgré un taux de participation inférieur à la moyenne nationale, seulement 35,60%.

Derrière, avec un score supérieur à 20%, la députée nauséabonde Anne-Laurence Petel investie par La République en Marche était satisfaite d’être le "premier des challengers" de Maryse Joissains et d’incarner une "envie de renouveau".

Troisième candidat en ballotage à 15,88%, l’ex-doyen de la faculté de Droit Marc Pena à la tête de l’union de la gauche, se disait confiant en une union plus large.

 
       
   

Coronavirus : les fautes de LREM et de l'État
Avec le jour d'après viendra aussi celui de rendre des comptes des députés LREM et comme Anne Laurence Petel.

De nombreuses plaintes émanant d'associations de victimes, d'assesseurs électoraux, de soignants et même de détenus ont été déposées devant la Cour de justice de la République (CJR), visant notamment le Premier ministre Édouard Philippe, l'ex-ministre de la Santé Agnès Buzyn et son successeur Olivier Véran ministre des Solidarités FLN et de la Santé.

 
       
         
 

En cause, le défaut d'anticipation du risque sanitaire, le retard dans les commandes de masques et de tests de dépistage, la pénurie de gel hydroalcoolique, ou encore les consignes sanitaires contradictoires de l'exécutif.

Certains vont jusqu'à évoquer un « mensonge d'État ».

Et les infractions reprochées sont de taille : homicide involontaire, mise en danger de la vie d'autrui, abstention volontaire de prendre des mesures destinées à combattre un sinistre, etc.

Le coronavirus pourrait-il engendrer une affaire identique au scandale du sang contaminé ou de l'amiante ?


Que risquent l'État et les dirigeants publics les députés ?

Globalement, l'impréparation de la France à cette épidémie virale : insuffisance des stocks de masques, capacités hospitalières insuffisantes, etc. 


Manifestement, le risque, alors qu'il ne pouvait être ignoré, a été assumé sans être traité : la prévention des épidémies n'a plus été une priorité politique depuis celle de la grippe H1N1, sans doute pour des raisons budgétaires.
En ce qui concerne le Covid-19, on ne peut que déplorer les mesures tardives prises par les pouvoirs publics qui en étaient encore à nier ou minimiser la réalité et la gravité de l'épidémie alors que les premiers cas surgissaient en Europe !


La France a cru pouvoir retarder le confinement (par rapport à l'Italie), ce qui a manifestement aggravé les conséquences mortelles de la pandémie.


La priorité a été donnée aussi au politique, comme en atteste le maintien du premier tour des municipales, alors que le confinement était imminent et forcément connu des pouvoirs publics qui allaient le décider le lendemain.


Les injonctions contradictoires du gouvernement et la dissimulation du risque ont aggravé la situation. Le ministre de la Santé et des Solidarités FLN a affirmé l'inutilité des masques alors que l'état des connaissances permettait déjà de savoir qu'ils avaient une efficacité acceptable, en dehors des lieux fortement contaminés.

La preuve, après avoir été déclarés « inutiles », ils vont être déclarés obligatoires dans les transports publics.
Le gouvernement a tout simplement cherché à cacher les manquements de l'État en adoptant une doctrine de la misère sanitaire.

La raison ?

Nous manquions de masques : on nous a donc dit qu'ils étaient inutiles.


On aurait pu reconnaître qu'ils étaient efficaces à 90 % et obliger les gens à se protéger, même avec des masques faits à domicile.


On nous a aussi expliqué qu'il était inutile de tester les gens, mais c'est surtout que les tests n'étaient pas non plus disponibles.
Les juridictions administratives, en matière de politique de santé publique, placent très haut le niveau de vigilance attendu des pouvoirs publics pour protéger la population et prévenir les risques. En matière de gestion des épidémies ou des risques généraux de santé publique, l'État engage sa responsabilité, pour faute simple, lorsque le juge répond positivement à trois questions : le risque était-il connu et grave ?


Existait-il un moyen de parer ce risque ?

L'État a-t-il failli dans l'adoption des mesures de prévention ?


Agnès Buzyn avait alerté sur l'ampleur possible de la crise dès le début de la pandémie de Covid-19 et l'état de ses connaissances scientifiques personnelles permettait de savoir que le risque était de taille.
Nous pouvions parer la menace du coronavirus sur notre sol.


Car même en l'absence de vaccin ou de remède médical certain, nous aurions dû nous mettre, en temps utile, en capacité de distribuer des masques à la population, de disposer d'un nombre suffisant de lits de réanimation (l'Allemagne en avait initialement quatre fois plus que la France) et d'imposer un confinement plus précoce.


Ces manquements fautifs ont été publiquement reconnus par le chef de l'État


En clair, on peut relever un ensemble de fautes liées à l'impréparation générale de la France et à la gestion de l'actuelle crise.
Pourquoi n'a-t-on pas commandé à temps des masques ou du gel hydroalcoolique ?
Ces fautes dans la gestion du risque sanitaire et de la pandémie de Covid-19 se mêlent aux informations inexactes et mesures contradictoires.


Du reste, ces manquements ont été publiquement reconnus par le chef de l'État lors de son allocution de lundi 13 avril 2020
Et pourtant, le Conseil d'État n'a pas donné gain de cause aux personnes voulant enjoindre au gouvernement de prendre des mesures urgentes : fournir des masques, procurer des tests de dépistage à la population…


Parce que le Conseil d'État s'est fondé sur les déclarations des pouvoirs publics assurant qu'ils avaient déjà passé des commandes. Le juge a considéré qu'il était inutile d'ordonner des mesures qui semblaient déjà prises et en cours d'exécution. Mais ces ordonnances de référé n'empêcheront pas de mettre en cause la responsabilité de l'État quant à l'impréparation de la France et le défaut d'anticipation du risque sanitaire.

             
   
   
 
Grenoble 17 octobre 2016 Olivier Véran participe marche à l’occasion du dévoilement de la plaque en hommage aux victimes du 17 octobre 1961 depuis comme député de La République En Marche après sa trahison du Parti Socialiste (PS) il refuse de signer les 5 projets de loi pour les victimes du FLN le 5 juillet 1962 à Oran un très grand dégueulasse
   
 
 

Un ex-collaborateur d'Olivier Véran soupçonné d’une offre bidon de masques

Comme l’a révélé Mediapart, Tewfik Derbal, un ancien collaborateur du ministre de la Santé, a tenté de toucher une commission en plaçant auprès du ministère une offre de masques FFP2.


C’est une affaire qui pourrait bien ternir la bonne image d’Olivier Véran auprès des Français.

Comme le rapporte Le Point, en s’appuyant sur une information de Mediapart, Tewfik Derbal, un ancien collaborateur du ministre de la Santé, a tenté de toucher une commission en plaçant auprès du ministère une offre de masques FFP2, mi-mars, en pleine pénurie de masques de protection contre l'épidémie de coronavirus.

Devenu ensuite collaborateur d'une députée LREM Emilie Chalas, Tewfik Derbal a « confirmé » à cette dernière les faits relatés par Mediapart.

Ce dernier a démissionné de son poste vendredi 8 mai 2020, précise dans un communiqué la députée de l'Isère tout en soulignant qu'elle « ignorait tout » de ces « faits et comportements », qu'elle « condamne avec la plus grande fermeté ».

« L'écrasante majorité des offres était hélas bidon »

Interrogé par le Dauphiné Libéré, le ministre de la Santé a de son côté rejeté toute responsabilité. Selon les précisions de Mediapart, l'ancien assistant parlementaire d'Olivier Véran (ex-député PS de l'Isère) a cherché, à la mi-mars, à positionner une offre de masques FFP2 auprès du ministère de la Santé. Ces masques en grande quantité - au moins un million - étaient proposés par une société française d'import-export avec la Chine auprès de qui « plusieurs pays » avaient manifesté leur intérêt, « sauf la France ».

   

La député Anne Laurence Petel candidate à l’élection municipale d’Aix en Provence ne condamne pas les faits

   
 
     
   
Alors que la France manquait de masques à la mi-mars, Tewfik Derbal attaché parlementaire qui collaborait encore avec Olivier Véran le nouveau ministre des Solidarités FLN et de la Santé quelques semaines plus tôt avait intention d’obtenir une commission de 1,8 % sur l’achat des FFP2 rapporte Mediapart dans une enquête sortie le 9 mai 2020