Emmanuel Macron a assisté aux cérémonies du 8 Mai 2017 aux côtés de François Hollande.

"Les déclarations d’Emmanuel Macron à Alger sont impardonnables en qualifiant de crime contre l’humanité le « colonialisme" français il désavoue la grande histoire civilisatrice de notre pays et les sacrifices de tous ceux qui ont fait l’Algérie française.
Il ne lui reste plus qu’à attaquer la France devant le Tribunal pénal international. En stigmatisant la présence française en Algérie, il se livre à un exercice de repentance sans précédent.
Le président élu Emmanuel Macron a assisté, lundi 8 mai 2017, à la commémoration de la capitulation allemande du 8 mai 1945 aux côtés du président sortant François Hollande

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Hollande présente Emmanuel Macron au général d'armée Pierre de Villiers

Une image symbolique d’un homme fini avec  ses manœuvres contre les Français d’Algérie durant cinq années depuis sa visite dès sa candidature pour sa première sortie comme candidat aux élections présidentielles Hollande va manifester avec le FLN le 17 octobre 2011 au pont de Neuilly avec son complice historien officiel l’idéologue d’extrême gauche Benjamin Stora.

Il poursuivra son œuvre de haine envers les Français d’Algérie et les Harkis avec les propos honteux de son serviteur le nauséabond Jean Marc Todeschini le repentant permanent sans jamais le moindre geste envers la communauté des PN et des Harkis voir (Sétif le 7 avril 2015).

Il complètera ses arrangements avec ses complices de l’association d’anciens combattants d’extrême gauche la FNACA avec la loi du 19 mars 1962 «loi n° 2012-1361 du 6 décembre 2012 » du nauséabond Alain Néri et Kader Arif, qu’il complétera par une visite honteuse au Quai Branly le 19 mars 2016.

Hollande commémore le cessez-le-feu en Algérie au Quai Branly, initiative controversée pour les anciens combattants, les pieds-noirs et une partie de l’opposition, le 19 mars 1962 reste « douloureux » car il marque le début de l’exil et des massacres de civils et des Harkis.


Son jeune élève lui se doit de faire plus fort, toujours avec l’aide du gourou idéologue militant trotskyste, l’historien officiel de l’Algérie le controversé Benjamin Stora il se rend en Algérie pour faire acte de repentance le 16 février 2017.

Il va se vautrer chez les fellouzes à Alger, c’est pour cracher sur notre pays, les anciens combattants, les harkis et les pieds-noirs.

Avec la récente déclaration d’Emmanuel Macron sur la colonisation "crime contre l’humanité", un voyage organisé par un autre pro Israélien installé à Alger Jean-François Heugas  directeur général de la Chambre française de commerce et d'industrie en Algérie (CFCIA).


À l’évidence soigneusement préparé, par Laurence Haïm une journaliste israélienne sur le fond comme dans sa médiatisation, ce coup de "com" a-t-il été pensé dans toutes ses implications ?

Il est permis d’en douter.

C’est d’abord, beaucoup l’ont noté que cette déclaration a été faite en Algérie, devant des dirigeants d’un régime qui n’est pas particulièrement respectable, chargeant lourdement la France et son passé de façon extrêmement négative - ce qui n’est pas acceptable pour un candidat à la fonction présidentielle.
C’est aussi et surtout qu’elle joue sur des registres sur lesquels semble-t-il, Emmanuel Macron s’est aventuré sans grande préparation intellectuelle.

Car le crime contre l’humanité est une catégorie juridique, en même temps qu’une grande question historique et mémorielle.

C’est une catégorie juridique au cœur depuis Nuremberg de grands procès qui ont visé et sanctionné des criminels. Celui qui entend être un jour le plus haut magistrat de France a utilisé des termes qui ont un sens en droit, alors qu’il ne fera rien concrètement, ce qui leur ôte une grande partie de leur charge symbolique. Car – qui en doute? – personne ne sera traduit en justice pour crime de colonisation contre l’humanité, et ce n’est pas sur la base de cette catégorie que des victimes pourraient exiger l’ouverture de dossiers de spoliation, réclamer par exemple des réparations, des indemnisations du type de celles que l’Allemagne démocratique a apportées après le nazisme.

En utilisant un vocabulaire lourdement chargé de connotations juridiques dont il ne fera rien, en tout cas sur ce terrain, en banalisant des mots qu’il transfère sans le dire du registre du droit à celui de l’action politique, le moins qu’on puisse dire est qu’ici, Emmanuel Macron a fait preuve d’une grande légèreté.

Épaisseur historique


Ses propos qualifiaient un vaste ensemble de faits et de processus, ils proposaient une vérité, assénée avec force. Mais, là aussi, quelle inconséquence! Il y a eu bien des horreurs dans les aventures coloniales, des massacres, des destructions en tous genres, des cultures ont été liquidées, des individus et des groupes broyés, des peuples maltraités – mais la colonisation, surtout s’il s’agit de celle de la France, ne se réduit pas à cette expression de "crime contre l’humanité", qui, en définissant toute cette histoire, en l’encapsulant, fait fi de la complexité et de l’épaisseur historique des phénomènes.

Mais s’il s’agit de poser un diagnostic historique, il y a là un abus, qui étonne de la part de quelqu’un qui se présentait il y a peu comme l’ancien assistant de Paul Ricœur – on aimerait bien savoir en quoi il a assisté l’auteur de La mémoire, l’histoire et l’oubli, qui n’aurait certainement pas tenu de tels propos.
On retrouve, de ce point de vue la marque de fabrique de bien des dirigeants politiques, qui se croient autorisés à dicter aux médias et de là à la population des catégories qui devraient en réalité être conceptualisées par d’autres – penseurs, chercheurs – et non pas lancées sur le mode du coup de marketing politique.

Ce ne devrait pas être aux hommes (et femmes) politiques de dire la vérité historique, mais aux historiens, et dans d’autres lieux pour ce faire que les salons du pouvoir algérien.

Pour les propos du nauséabond Macron sur la colonisation : « Les historiens ont apporté la preuve de massacres », il parle de l’historien Nostalgéria Benjamin Stora.

François Le Normal (FLN) dit Hollande : Macron c’est moi !

C’est Hollande qui a fait faire ses premiers pas au candidat d’En Marche. Il lui a tout appris. A le voir se pavaner comme un vainqueur pendant les cérémonies du 8 mai, on sent déjà à quel point on s’est fait avoir.


8 mai 2017 Hollande va chercher Macron à la Tribune officielle.

Les Français le méprisaient, ils ont élu son dauphin.

Comment est-on passé de « Hollande dégage » à « Macron président » ?

Le président du plus calamiteux mandat de la Ve République a déclaré avoir ressenti « beaucoup d’émotion » à donner lors de ces cérémonies « la marche à suivre » à son poussin qu’il a physiquement pris sous son aile pendant plus d’une heure.

Et va-t’en que je te presse le bras, que je te tapote la nuque, que je te caresse la joue, que je te tire par la main, que je porte la gerbe à deux et que je ranime la flamme du soldat inconnu à quatre mains avec toi !


Macron à Hollande : " il faut parler maintenant du génocide de l' Armée Française en Algérie "



Qu’est ce qu’il va lui faire pour la passation de pouvoir ?

« Je voulais qu’ Emmanuel Macron puisse être là, avec moi, à côté de moi pour qu’une forme de flambeau puisse lui être passé puisque nous sommes aussi auprès de cette flamme du Soldat inconnu », a déclaré François Hollande sans jamais avoir peur d’en faire trop : « C’est vrai qu’il m’a suivi tout au long de ces dernières années quand j’étais moi-même candidat puis président, il a été ministre d’un gouvernement.

C’est à lui maintenant, fort de l’expérience qu’il a pu acquérir auprès de moi, fort aussi de ce que nous avons fait ensemble, de continuer sa marche. » Avant d’ajouter cette prophétie flippante : « Je serai toujours à côté de lui. » Il va faire cauchemarder le petit.

Voilà pour « l’homme neuf » qu’on nous a vendu.

Secrétaire général adjoint du cabinet de Hollande pendant deux ans puis ministre de l’Economie deux ans encore.

Soit aux affaires pendant la quasi-totalité du quinquennat.

En 2014, François Hollande lâche aux journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme tout le « bien » qu’il pense de l’héritier : " Macron a fait du bien. "

Pas par ce qu’il a fait. Il n’a rien fait.


Mais par l’idée même de mouvement, de rajeunissement… » Dans l’émission « Dialogues Citoyens » en 2016, le président rappelle : « Il sait ce qu’il me doit. »

Alors que les objectifs relayaient jusqu’à la nausée lundi, les images de Maitre Hollande et de son petit Scarabée, Le Parisien annonçait qu’une rencontre – secrète celle-là – avait eu lieu juste après la cérémonie.

Hollande et Macron se seraient retrouvés au palais de  l’Elysée, ce que la garde rapprochée de Macron n’a pas souhaité commenter, « soucieuse de ne pas apparaître trop ostensiblement dans une filiation avec ce président si impopulaire alors que les législatives se profilent » !

 

 

Emmanuel Macron a assisté aux cérémonies du 8 Mai aux côtés de François Hollande.

 

 

Le président en exercice François Le Normal (FLN) a inauguré, vers 10 h 45, les commémorations en déposant une première gerbe, seul, devant la statue du général de Gaulle, au bas des Champs-Elysées, avant de rejoindre le président fraîchement élu.

François Hollande et Emmanuel Macron ont alors déposé ensemble la traditionnelle gerbe des cérémonies du 8 Mai sur la tombe du Soldat inconnu, sous l’arc de Triomphe. Le président sortant était venu chercher son successeur quelques instants auparavant dans les tribunes de la place de l’Etoile, le saluant d’une accolade.

François Hollande a ensuite adressé, face à la presse, ses conseils à Emmanuel Macron : « Les Français, il faut les chercher.

Quelquefois ils peuvent être divisés, il faut les réunir.

Les deux satrapes nauséabonds pour réunir sont formidables

- Crachat(s) contre les PN et les Harkis pour Hollande durant tout le mandat du socialiste ( début le 17 octobre 2011)

- Crachat (s) depuis l’étranger contre la France pour Emmanuel Macron (début 16 février 2017 à Alger ) c'est le début.


Il faut les protéger. La première chose à accomplir, c’est de penser aux Français. » (sic)