Les turpitudes de Manuel Valls

 
           
   
 

Après les révélations de BFM-TV sur la présence à bord de l'avion de deux des fils du chef du gouvernement. Une information confirmée à l'AFP par l'entourage de Manuel Valls qui assure que «la présence des enfants dans l'avion n'ajoute strictement rien au coût de l'affrètement» de l'appareil.
L'aller-retour en Falcon gouvernemental de Manuel Valls à Berlin, où il a assisté samedi au sacre de son club favori, de sa ville natale en Espagne FC Barcelone le Barça, en Ligue des Champions, ne cesse de faire parler.

 

L'entourage de Manuel Valls, interrogé par la chaîne de télévision, a confirmé l'information, notant toutefois que "le coût du vol n'a pas été impacté par la présence des enfants". Il restait deux places libres dans l'avion, explique encore cette source à BFMTV. Ce qui a fait aussitôt réagir des responsables de droite, ils demandent  au Premier ministre de rembourser son voyage à Berlin.
France pillée!
Valls fait payer son aller-retour Paris-Berlin par les contribuables français, pour assister à un match de sa ville natale en Espagne le FC Barcelone -Juventus à Berlin

 
Pour suivre son équipe de football préférée, le FC Barcelone, Manuel Valls est prêt à tout.
Y compris à quitter Poitiers où se tient le congrès socialiste pour rejoindre Berlin, où se jouait samedi soir la finale de la ligue des champions.
Et retourner à Poitiers dès le dimanche matin.
Si les trajets Poitiers-Paris sont payés par le Parti socialiste, l'aller-retour Paris-Berlin a lui été payé par le contribuable bien qu'aucune équipe française ne soit à l'affiche de la finale de la ligue des champions. Il y avait sans doute urgence, en tant que Premier ministre de la France, d'aller soutenir une équipe étrangère», «Entre premier ministre de la France et supporter du Barça, Manuel Valls a fait son choix».
Le chef du gouvernement est également critiqué sur Twitter par Thierry Mariani, le député (Les Républicains) des Français de l'étranger: «Valls à Berlin, à un match de foot entre deux équipes étrangères, aux frais de l'Etat... Cela prouve qu'il a perdu tout sens de la réalité». Le député (Les Républicains)
Manuel Valls s'est défendu : "Je suis Premier ministre. Je me déplace avec les moyens que vous connaissez. N'essayez pas de créer de faux débats." Le vice-président du FN, Florian Philippot, qui a qualifié ce déplacement, dans un tweet, de "petit caprice footballistique de Valls pour deux équipes étrangères", avait rebondi sur le sujet au micro d'Europe 1. "La vraie question est qui paie ?" a-t-il demandé. "J'espère que ce n'est pas le contribuable français", a-t-il insisté.
Thierry Solère, député du parti Les Républicains, a, lui, martelé : "Les Français qui ont du mal à payer leurs impôts ne peuvent pas comprendre, c'est plus l'époque, qu'on utilise des jets privés pour faire Poitiers-Berlin parce que le Premier ministre aime le foot et le Barça."
             
   
 
     

Manuel Valls est un nostalgique de l’Espagne et l’Equipe du le FC Barcelone et il se permet de traiter les Français d’Algérie de « Nostalgérique » le  14 mars 2015  à saint Brieuc avec des distributeurs de tracts,  Le premier ministre reproche également d'exhumer les événements historiques qui ont fracturé la France. «La nostalgie de l'Algérie française n'apporte rien de bon ».

       
                     

Dans un livre le regretté Emmanuel Ratier sur la jeunesse de Manuel Valls en Espagne documents et vidéos à l’appui, Ratier défend sa version des faits. Premièrement, s’il n’a jamais affirmé que les Valls étaient franquistes, il rappelle à nouveau qu’ils ne furent en rien antifranquistes.
Ensuite, au sujet de la pauvreté supposée de la famille, l’auteur évoque les origines paternelles et maternelles de Manuel Valls : une famille de riches colons du côté de sa mère, et de banquiers catalans du côté de son père. Ainsi, la propriété de la famille Valls à Barcelone, la « Torre dels Pardals », est l’une des plus belles de la ville.

                         

Le chef de cabinet de Valls promu préfet : une nomination qui pose question
Sébastien Gros, chef de cabinet de Manuel Valls à Matignon, a été nommé préfet hors cadre. Si la pratique est courante et légale, elle a été dénoncée récemment par la Cour des comptes et interroge sur la notion de «république exemplaire» de François Le Normal (FLN) dit Hollande.
Cet homme âgé de 34 ans conserve toutefois ses fonctions auprès du Premier ministre. Il veille notamment à l'organisation de ses déplacements.
En clair, cette promotion «hors cadre» dans «la préfectorale» signifie qu'elle n'est pas assortie d'une nomination locale dans un département, comme c'est le cas de la plupart des autres préfets. Sa rémunération (la grille de rémunération des préfets débute à 5.162 euros bruts) viendra se substituer et non s'ajouter à celle de membre de cabinet. L'avantage est qu'il se retrouve avec le statut de fonctionnaire, une assurance en cas de changement politique à la tête du pays.
Christian Gravel, directeur du Service d'information du gouvernement, a été nommé mercredi préfet «hors cadre». C'est le deuxième proche de Manuel Valls à accéder ainsi au corps préfectoral.

     
 
     
 

Christian Gravel, 41 ans, actuel directeur du Service d'information du gouvernement (SIG) a été nommé préfet hors cadre, sur proposition du ministre de l'Intérieur, indique, mercredi, le compte-rendu du Conseil des ministres. L'homme est un très proche de Manuel Valls, membre de son cabinet à la mairie d'Evry entre 2002 et 2012.
Même si ces nominations de préfets «hors cadre» (sans affectation territoriale) sont courantes et légales, elles sont souvent contestées, étant assimilées à une pratique de «copinage». La Cour des comptes a rendu un rapport sur le sujet en septembre 2014 s'alarmant sur une hausse de 70% des nominations en 30 ans. Réponse, du premier ministre: «Il n'est actuellement pas envisagé de supprimer cette voix d'accès au corps des préfets».

Parmi ces « faux préfets », on retrouve les députés et anciens ministres de François Mitterrand, Michel Vauzelle et Michel Delebarre.

                         
     
 
Michel Vauzelle
150000 Euros pour le film "Hors la loi"
 
 
Michel Vauzelle est avocat de profession et Michel Delebarre est cadre supérieur de collectivités locales. Ces 2 hauts fonctionnaires n’ont jamais exercé les fonctions de préfet. Ils avaient été nommés préfets, de manière discrétionnaire, par François Mitterrand, alors président de la République.
Le 28 avril 2011, Michel Delebarre a fait valoir ses droits à la retraite de préfet, à l’âge de 65 ans, tout comme l’avait fait le 15 août 2010 Michel Vauzelle, leur permettant ainsi de toucher une pension mensuelle de 4 000 euros brut, en plus de leurs indemnités de parlementaires et d’élus locaux : soit 15 124 euros brut pour Michel Delebarre et 9 760 euros brut pour Michel Vauzelle. Chacun touche en plus une indemnité représentative de frais de mandat de député de 6 000 euros net.
Quand ces 2 parlementaires décideront d’abandonner leurs mandats, ils pourront cumuler la totalité de leurs retraites de préfet, de parlementaire et d’élu local !
Michel Delebarre touchera ainsi 12 000 euros mensuels brut et Michel Vauzelle touchera 10 000 euros brut
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L'ancien colleur d'affiches de Manuel Valls devient chargé de mission à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI)

DGSI : la nomination qui fait grincer des dents

En 2015, Sébastien Gros le chef de cabinet de Manuel Valls, avait été nommé préfet “hors cadre” par le Premier ministre. Cette nomination “au tour extérieur” avait profondément choqué dans la préfectorale et plus largement dans les grands corps de l’État, jusqu’à la Cour des comptes qui s’était même interrogée sur la notion de «République exemplaire ». Effectivement, celui qui accompagne Manuel Valls depuis la Mairie d’Évry a plus le profil de collaborateur d’homme politique que de haut fonctionnaire. À l’approche de la présidentielle, alors que les conseillers de François Hollande se recasent où ils peuvent, il est une nomination qui ne passe pas.

« Pas du tout, même », de l’aveu d’un proche de Bruno Le Roux, le ministre de l’Intérieur. Celle du même Sébastien Gros, comme chargé de mission à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). « Un service de renseignements par excellence ne peut se permettre une telle politisation », accuse un préfet en poste. Un autre interroge carrément:

« Dans un service de spécialistes, quelle est sa spécialité?» D’après nos informations, après avoir cherché à être nommé préfet de département, Sébastien Gros, dans l’équipe de Manuel Valls lors de la primaire, a été contraint de renoncer à cette ambition avant d’être nommé à la DGSI.

 
   
 
   
Manuel Valls Nostalgéria