Marisol Touraine ministre de la Santé du shoot et de la fornication

 
       
 
 
 

SANTÉ - Les salles de shoot (ou salles de consommation de drogue)


Ces salles ont donc pour vocation de diminuer les risques de contamination, notamment par l’hépatite C ou le VIH, en distribuant du matériel stérile à des usagers qui ne sont pas encore dans une démarche de sevrage, et qui consomment d’ordinaire des produits dans des conditions les mettant en danger.
Si les consommateurs d’héroïne en injection semblent visés par la dénomination «salles de shoot», «il est toutefois possible d’envisager d’encadrer les consommations de drogues inhalées [fumées, comme le crack par exemple, ndlr] ou sniffées», qui ne sont pas sans risques.
Concrètement, les salles se découpent généralement en lieu «d’accueil et de convivialité», puis des «boxes individualisés» pour les injections ou le sniff ou des «cabines avec extracteurs de fumée» pour les drogues inhalées. Le tout toujours sous le contrôle visuel des intervenants de la structure.

 

Salles de shoot : "État dealer" ?

 Juste avant, il avait été question de ladite "boulette" sur le cannabis de Vincent Peillon.
La dite boulette, n'est-ce pas ? Car si Jean-Marc Ayrault a bien rappelé que les ministres "doivent défendre à la fois la politique de leur ministère et la politique du gouvernement, et rien d'autre", le ministre de l'Éducation nationale n'était-il pas dans le cadre de son ministère lorsqu'il a parlé du cannabis ?

 
 

Contraception gratuite pour les mineures : concrètement, qu'est-ce qui va changer ?
La minstre de la Santé propose que certains contraceptifs soient désormais accessibles gratuitement pour les adolescentes.
La ministre de la Santé, Marisol Touraine, a annoncé le mardi 23 octobre 2012 dans Les Échos qu'elle présentera "au nom du gouvernement un amendement qui propose le remboursement intégral par la Sécurité sociale de la contraception pour les jeunes filles de 15 à 18 ans".

Quels sont les contraceptifs concernés ?

"L'amendement proposera que tous les contraceptifs partiellement remboursés aujourd'hui soient intégralement pris en charge par la Sécurité sociale pour les jeunes filles de 15 à 18 ans."

Quels sont ces contraceptifs ? Selon un tableau récapitulatif dressé par le ministère, les contraceptifs concernés sont : certaines pilules contraceptives, l'implant (qui s'insère sous la peau du bras) et le stérilet.

La pilule du lendemain est déjà délivrée gratuitement en pharmacie pour les mineures.

En revanche, le patch (à coller sur la peau), l'anneau vaginal, les spermicides, la cape cervicale, les pilules de 4e génération et les préservatifs masculins et féminins seront exclus de l'amendement.
Les mineures pourront se faire prescrire la pilule en toute confidentialité
26 octobre 2012 - Les députés, sur proposition du gouvernement, ont voté lundi soir un amendement au projet de budget de la Sécurité sociale, garantissant le secret lors de la prescription d'un contraceptif aux mineures.

"Cet amendement est nécessaire afin que les jeunes filles puissent avoir recours à la contraception si elles le souhaitent sans que l'information qui serait faite à leurs parents sur ce point, notamment par les informations issues du remboursement par l'assurance maladie, ne pèse dans leur décision et vienne entraver leur volonté", a souligné Marisol Touraine, ministre de la Santé.