Dupont Aignan porte parole de la FNACA. pour sa protestation contre l'inscription des victimes du 26 mars 1962 rue d'Isly à Alger sur le monument du quai Branly

 

Dupont Aignan est le porte parole de la FNACA (Fédération Nationale des Anciens Combattants en Algérie, Maroc et Tunisie), une association d'anciens combattants qui recherche la repentance après le mais surtout officine communiste et repère des anciens porteurs de valises au profit du FLN.

Le 26 mars 2010, à 14 h 30, heure précise du déclenchement du massacre de la rue d’Isly (26 mars 1962), une cérémonie – due à l’opiniâtreté de Nicole Ferrandis – au monument aux du quai Branly de Paris,où seront inscrits quelques noms des victimes de cette fusillade.

Cette cérémonie suscite la haine de l’Algérie, de la FNACA, du PC, du parti Socialiste, de tous les ex-porteurs de valise, des gaullistes complices et parmi eux, Nicolas Dupont-Aignan.

C’est ainsi qu’il a posé une question écrite (Journal officiel, 23/02/2010, page 1 854, question n° 71 864) à Monsieur le secrétaire d’État à la défense et aux anciens combattants pour lui demander de revenir sur la cérémonie du 26 mars prochain. Voir :

http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-71864QE.htm

La question est ainsi formulée :

« M. Nicolas Dupont-Aignan appelle l’attention de M. le secrétaire d’État à la défense et aux anciens combattants sur l’émotion suscitée par l’initiative gouvernementale de faire inscrire les noms des victimes civiles du drame de la rue d’Isly à Alger du 26 mars 1962, sur la colonne centrale du mémorial national de la guerre d’Algérie, quai Branly à Paris. Érigé après de nombreuses années de démarches, ce mémorial est dédié aux seuls militaires et supplétifs « morts pour la France » durant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de Tunisie. Y inscrire les noms des victimes de la rue d’Isly serait considéré comme une insulte à l’armée française restée loyale aux institutions républicaines. Il rappelle que son prédécesseur, lui-même, avait évoqué la fusillade du 26 mars 1962 en insistant sur le fait qu’il s’agissait d’une manifestation interdite, organisée à l’initiative de l’OAS. C’est pourquoi il lui demande de bien vouloir reconsidérer la pose de cette plaque sur le monument commémoratif du quai Branly.»

Voici maintenant le communiqué de la FNACA :

«Le Comité National de la FNACA s’élève avec force contre le projet annoncé par M. Hubert Falco, secrétaire d’Etat à la Défense et aux Anciens Combattants, lors de la cérémonie du 5 décembre dernier, visant à faire inscrire les noms des victimes civiles du drame de la rue d’Isly le 26 mars 1962, sur la colonne centrale du Mémorial National de la guerre d’Algérie.

Cette initiative serait ressentie comme une véritable insulte à l’Armée Française, restée loyale à l’égard des Institutions Républicaines dans cette période perturbée par les exactions de l’OAS.

La FNACA rappelle que le Mémorial National de la guerre d’Algérie, érigé quai Branly après de nombreuses années de démarches, est dédié aux seuls militaires et supplétifs “Morts pour la France” durant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de Tunisie. »

Il faut noter la similitude de l’argumentaire, du texte de Dupont Aignan complice des textes du Parti communiste et la FNACA identiques.