Pour l’Algérie concernant les crimes  coloniaux :
François Hollande souhaite que les «choses soient dites»

 
       
 
 
 

Hollande le complice du Pistaché DSK. En Provence, un pistachier est homme vicieux, libidineux, faisant toujours des réflexions tournant autour du thème, essayant de tripoter, de frôler, de séduire dans un but sexuel, au mieux, un coureur, un cavaleur.

 

 

François Hollande travaille ce qui est réputé comme son principal point faible : la politique internationale.

Le 25 juillet 2011, dans son bureau de l'Assemblée nationale, il a accordé un entretien à Jeune Afrique (n° 2639 en kiosques du 7 au 13 août), dans lequel il précise la politique africaine qui serait la sienne s'il était élu président.

Le député de la Corrèze, qui se voit bien en « président normal mais pas ordinaire

Pour l’Algérie concernant les crimes  coloniaux : François Hollande souhaite que les «choses soient dites»

Il a souhaité que la France formule des excuses pour son passé colonial de 132 ans en Algérie. «Je souhaite que les choses soient dites», a indiqué l’ancien premier secrétaire du PS, en réponse à la question

«Je souhaite que les choses soient dites. Nous allons célébrer en 2012 le cinquantième anniversaire de l’indépendance algérienne : ce sera l’occasion de rappeler ce qu’est le passé, l’Histoire et ses douleurs multiples», a-t-il dit, ajoutant «qu’il ne faut pas nous figer dans une commémoration qui sera forcément différente dans l’évocation du souvenir en Algérie et en France».

Cependant Le député PS de la Corrèze, n’a pas été jusqu’a promettre de présenter ses excuses pour les crimes coloniaux au cas où il accéderait à la présidence française en 2012

Pour autant François Hollande pense que les deux pays doivent être dans une relation de «confiance mutuelle et dans la construction de projets communs eu égard aux liens humains, culturels et économiques qui nous unissent». Invité à analyser pourquoi l’Algérie n’a pas été affectée par le mouvement de révoltes qui a touché plusieurs pays arabes, il a indiqué que «l’idée de la concorde nationale demeure» et que l’Algérie se souvient de la décennie noire du terrorisme.

Pour rappel, François Hollande s’était rendu, en décembre 2010, à Alger, à l’invitation du parti du Front de libération nationale (FLN). Interrogé lors de cette visite sur le passé colonial de la France, il avait fermement condamné la colonisation et appelé à un travail de mémoire qui permette aux deux pays de mieux «comprendre le passé pour mieux préparer le futur».

Un lâche qui renie son père

D’autant plus que son père, médecin notable de Bois-Guillaume était un fervent partisan de l’Algérie française !
Petite enfance, sans trop d’histoire, de fils de notable provincial : pensionnat Jean-Baptiste-de-la-Salle à Rouen, puis le lycée Pasteur à Neuilly-sur-Seine. Sous le berceau de ces « douces fées » il s’envole, brillant (déjà) et amasse les diplômes : licence de droit à Paris, puis HEC, l’Institut d’études politiques de Paris et enfin le saint des saints : l’Ecole Nationale d’Administration (promotion Voltaire, où il croise, outre Ségolène Royal : Frédérique Bredin, Jean-Marie Cambacérès, Renaud Donnedieu de Vabres, Michel Sapin et Dominique de Villepin entre autres, de quoi se faire un beau carnet d’adresse). N’en déplaise à son ego, il ne sortira pas premier mais 7ème de sa promotion.

Peur de s’engager de se marier

Mais l’ENA sera surtout le berceau de sa saga familiale puis qu’il y rencontrera sa compagne d’un long chemin (et dont il n’imaginait pas les ennuis qu’elle lui causerait… !). C’est en 1970 (un an avant le congrès d’Epinay fondateur du parti socialiste moderne) qu’il se met en ménage (ils ne seront jamais mariés, pour garder leur capacité d’action politique, surtout d’être chacun député, mari et femme ne pouvant pas siéger ensemble à l’Assemblée). Ils auront tout de même quatre enfants ensembles ; ce qui en dit long sur l’aventure sentimentale qui fut la leur.
Trente sept ans plus tard le 17 juin 2007 ils officialiseront leur séparation, déjà effective depuis un bon moment.

Affaire DSK

Un drôle de candidat qui est au courant de rien pendant un moment puis reconnait sa complicité avec DSK

La seule chose que M. Hollande aurait à se reprocher c'est d'avoir, en moins de 15 jours, changé radicalement sa position. Au début, il ne savait rien et n'avait entendu parler de rien. Puis, les témoignages s'agglutinant, il a dit avoir eu connaissance de certains faits et avoir conseillé à Mme Banon, au travers de sa mère, de déposer plainte s'il y avait lieu de le faire...
Alors question : il savait ou pas ? Quelle que soit désormais sa version, il a été pris en flagrant délit de mensonge ! Il a donc quelque chose à se reprocher...

L’affaire remonte à 2002. Lors d’une interview que lui avait accordée DSK, Tristane Banon aurait été victime d’une agression sexuelle.

Selon les journalistes présents sur le plateau de "Ce soir ou jamais", Laurent Fabius et François Hollande étaient au courant de l'affaire et ont contacté la mère de la jeune femme (Anne Mansouret) régulièrement. Sa fille renoncera à porter plainte.

Même si la non-dénonciation de délit n'est pas constituée dans ce cas, François Hollande peut il maintenir sa candidature dans ces conditions et dans la perspective d'un procès ?

Dans leur livre Sexus Politicus, publié chez Albin Michel, Christophe Deloire et Christophe Dubois racontaient déjà, sans donner son nom, qu’Anne Mansouret avait eu l’occasion de s’expliquer avec DSK, lequel avait invoqué ’une banale tentative de séduction’, et que François Hollande était intervenu pour calmer le jeu
Mise en ligne le 3 octobre 2011 16 h CET