Robert Ménard viré de d'i>télé soutenir Robert Ménard en signant la pétition.

   
       
 

Le journaliste Robert Ménard vient d’être licencié de la chaîne i>télé, vraisemblablement à la suite de pressions communautaires et de l’arrivée de la gauche au pouvoir.



Outre les écrits politiquement incorrects de Ménard et son ton décomplexé, il semble que l’émission « Ménard sans interdit », qui faisait le succès d’i>télé, ait été liquidée à la suite d’un entretien avec Louis-George Tin. Le 18 juin, le président du CRAN (Conseil représentatif des associations noires) s’y était en effet accroché avec le journaliste sur les questions de « diversité » à l'Assemblée nationale. 

Durant la rencontre, le militant de la cause noire avait déclaré : « Je crois que le quota de Ménard est dépassé ». A-t-il été exaucé par la direction d'i>télé ? Fallait-il donner des gages à la gauche en évinçant une « grande gueule » politiquement incorrecte ?

Une chose est sûre, ces appels à la censure et à la répression lancés par des représentants communautaires démontrent que votre liberté d'expression est de plus en plus menacée en France. Des lobbys subventionnés par nos impôts et certains politiciens soutenus par les grands médias cherchent à imposer leurs idées en privant de parole ceux qui osent remettre en question les idées reçues et l'idéologie des élites mondialisées.

L’enjeu, c’est celui de la liberté de la presse face au « politiquement correct ».

L'Observatoire des journalistes et de l'information médiatique défend la première contre tous les conformismes.
Parce que nous sommes attachés aux libertés et que nous n'acceptons pas la censure directe ou indirecte des associations, partis politiques ou médias qui cherchent à nous faire taire, nous soutenons la liberté de la presse et Robert Ménard, fondateur de Reporters sans frontières, dont la direction d'i>télé a annoncé l’éviction pour la rentrée de septembre.

Il est encore temps d'agir. Nous demandons le respect de la liberté de parole, de critique et la réintégration de Robert Ménard à i>télé.

Signez et diffusez cette pétition par tous les moyens et faites respecter vos libertés face à un système qui cherche à museler les esprits libres !

POUR SIGNER LA PÉTITION :

http://www.ojim.fr/petition-pour-sauver-la-liberte-dexpression-soutenez-robert-menard/

Pétition initiée par l'Observatoire des Journalistes et de l'Information Médiatique (OJIM)
Contact : petition@ojim.fr - Claude Chollet, Président - www.ojim.fr


La responsable de l’éviction


 

     
Cécilia Ragueneau i>TELE

Le président du groupe Canal+ Bertrand Méheut et sa complice Cécilia Ragueneau ils licencient notre compatriote Robert Ménard

Le 21 juin 1982, Canal + introduit la pornographie pour un projet de chaîne culturelle ! Le dossier est soutenu par le ministre de la culture Jack Lang.
 
 
 
   
       
 
Robert Ménard, né le 6 juillet 1953 à Oran, département d'Oran (Algérie française), est un journaliste français, fondateur et secrétaire général jusqu'au 30 septembre 2008 de l'association française Reporters sans frontières (RSF)
Fils d'un imprimeur proche de l'OAS, d'une famille catholique pied-noir installée en Algérie depuis 1850, où « on détestait les gaullistes et les communistes », selon ses propres termes, Robert Ménard a neuf ans lorsque sa famille, rapatriée d'Algérie, s'installe à Brusque dans l'Aveyron.
Il suit les cours d'un collège religieux et envisage de devenir prêtre. Poursuivant ses études à Montpellier, il choisit la philosophie, choix qu'il décrit comme ne répondant pas spécialement à une vocation. À Béziers, Robert Ménard est proche des milieux anarchistes puis trotskistes et milite à la Ligue communiste révolutionnaire, de 1973 à 1979. Il s'inscrit par la suite au Parti socialiste.
Robert Ménard crée Reporters sans frontières le 25 juin 1985, à Montpellier. Activiste acharné, il réussit à en faire l'une des plus grandes organisations de défense de la liberté de la presse dans le monde.
Pour protester contre les violations des droits de l'homme en Chine avant les Jeux olympiques en Chine, Robert Ménard a décidé de s’approcher de la tribune officielle lors du discours du responsable chinois à Olympie sous le slogan : « Freedom in China ! » Il organise des manifestations lors du passage de la flamme à Paris : plusieurs grimpeurs accrocheront des drapeaux représentant les anneaux olympiques sous forme de menottes.
Le 30 septembre 2008, Robert Ménard annonce sa démission et quitte la direction de Reporters sans frontières. Le 1er mars de la même année, il avait pris les fonctions de directeur général d'un centre pour la liberté de l'information à Doha au Qatar, censé accueillir et soutenir des journalistes persécutés dans leur pays, et doté d'une subvention annuelle de 3 millions de dollars par l'émir.
Après avoir été débarqué de RTL, où il disposait d'une chronique et participait à l'émission On refait le monde[12], il a pris la tête de la matinale de Sud Radio[13] (7h-8h30) en août 2011.
En juillet 2012, il déclare se préparer à briguer la mairie de Béziers à l'occasion des élections municipales de 2014 avec une liste transpartisane[14].
Robert Ménard ne fait plus partie de l’équipe d'i>Télé. La chaîne d’information lui a signifié en juillet 2012 l’arrêt de son émission « Ménard sans interdit », programmée chaque jour à 17h45. Après cette annonce, le journaliste et ex-patron de Reporters sans frontières s'estime « débarqué » par la chaîne et il accuse la chaîne d’avoir cédé à des « pressions ».