GLORIFICATION
DES POSEUSES DE BOMBES

DU FLN
Manipulation
ET L' IGNORANCE DES
VICTIMES

Sur France Televisions
F R A N C E - 3
26 janvier 2008 - 23 h 15
durée 60 minutes

Faouzia Fekiri, journaliste et réalisatrice algérienne, a retrouvé quatre d’entre elles. De leur récit, elle a construit un documentaire qui revient sur cette période tourmentée de notre histoire commune.
vous avez compris la suite glorification des poseuses de bombes, les victimes sont méprisées par france FLN visions.

   
 
     
 




 
Alger 30 septembre 1956 bombe du milk bar posée par Djamilah Bouhired
   
 

Elles s’appellent Fatima, Zohra, Samia, Djamila, Fadhila... Elles avaient entre 16 et 20 ans en 1957... elles vivaient à Alger et se sont engagées dans la pose de bombes pour toucher d'innocentes victimes des femmes et des enfants.
Un documentaire produit par la nostalgique de Joseph Vissarionovitch Djougachvili et Saloth Sar, Françoise Castro
l'ancienne épouse de Laurent Fabius. Françoise Castro est patronne de BFC Productions ( Burdel & Françoise Castro) , documentaires et fictions.

   
 
 

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avant après Zohra Driff
Nicole Guiraud
   
 
 

Lu sur le site de France 3


Ces "poseuses de bombes" sont devenues les figures emblématiques de l’épisode le plus meurtrier de la guerre d’indépendance : "La bataille d’Alger". Surnommées "bombistes" par leurs camarades, ces jeunes révolutionnaires sont fichées comme terroristes par les autorités coloniales, et traquées sans merci. Quelques-unes seront tuées dans l’action, d’autres seront arrêtées et torturées avant d’être jugées et condamnées à la prison à perpétuité ou à la peine de mort.
Aujourd’hui, huit d’entre elles sont encore en vie. Pour la première fois, elles racontent leur histoire, et l’inexorable mouvement qui a changé des femmes en terroristes, des civils en cibles et des soldats en bourreaux.
A l’aide d’archives, d’extraits de films de fiction, et de témoignages inédits à ce jour, ce film donne aussi la parole à des victimes des attentats. Le traitement de la "bataille d’Alger", sous le prisme féminin, demeure une approche inédite et originale pour raconter une tragédie terrifiante qui affecte encore, cinquante ans après, les relations entre la France et l’Algérie.

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La productrice du documentaire Françoise Castro
 
 

Sociologue et psychologue de formation, elle milite à l' extrême gauche depuis 1968. Entrée en politique à la fin de la guerre d'Algérie, continuant avec l'UNEF «ultra-gauchiste» autour de Mai 1968, elle distribue des tracts depuis le lycée. Elle a commencé au parti socialiste, alors au 12 de la cité Malesherbes, à l'automne 1973, à la Commission «propagande» avec Georges Sarre, Jean-Pierre Audour et Évelyne Soum.
Juive militante, originaire de Salonique et d'Istanbul. À l'époque seule femme cadre chez Péchiney, Françoise Castro a des convictions extrêmes

 
     
 
le socialiste Laurent Fabius, qui divorça en 2005, après 24 ans de mariage de Françoise Castro -ils ont deux enfants.
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E-mail societe.bfc@wanadoo.fr
écrire directement castro.bfc@wanadoo.fr

     
Une fois de plus la télévision publique française, financée par les contribuables français, dont les familles des victimes de ces jeunes filles, fait l'éloge des lâches crimes terroristes commis contre des civils pour une Algérie indépendante. Une Algérie "libérée" qui connaît toujours, 46 ans après, les mêmes crimes. Des actes de "barbarie" injustifiable quelle que soit la cause et dont l'apologie devrait être interdite au pays des Droits de l'Homme.

Nous vous invitons à réagir dès maintenant auprès du gouvernement, de vos élus, des médias et de la chaîne pour demander le respect du droit des victimes et de leurs familles pour lesquels cette glorification du terrorisme est une souffrance s'ajoutant aux souffrances endurées depuis des décennies.