Dans un article de Télérama le journal TV des « bobos » des nostalgiques de Saloth Sar , Thierry Leclère , grand copain de l’historien falso révisionniste Benjamin stora s’en prend au mur des disparus de Perpignan.
Ne sachant pas quoi écrire il utilise le rapport rédigé par le groupe du parti communiste Eric Savarese, Raphaëlle Branche,Jean Robert Henry, Jean–Charles Jauffret, Claude Liauzu, Gilbert Meynier, Valérie Morin, Yann Scioldo-Zurcher, Benjamin Stora, Sylvie Thenault.
Pour le faussaire du journal pseudo culturel Télérama, le mur des disparus de Perpignan serait donc essentiellement un monument à la gloire de l’O.A.S. et rien que cela.
Pour le pseudo journaliste plutôt nostalgique du stalinisme, son gros problème les inscriptions du mur des disparus de Perpignan, il reproche au Cercle Algérianiste de ne pas voir y figurer le nom des gens du FLN disparus pendant la guerre d’Algérie.
L’Algérie pendant ce temps ne s’embarrasse pas, de nombreux monuments aux morts sont détruits, le monument aux morts d’Alger est calfeutré, pourtant les inscriptions étaient relatives aux morts de la grande guerre de 1914, et ceux de 1945.
Le Mémorial des Disparus de Perpignan couvre la période 1954-1963. Il comporte les noms de toutes les personnes disparues au cours de cette période sans distinction de sexe, d’âge, d’origine ou de confession : Français d’Algérie, Harkis, militaires du contingent.
Plusieurs milliers de noms de personnes disparues, enlevées sans laisser de trace.
Ce sont des drames atroces qui ont laissé dans les familles angoisses, souffrances, larmes et terribles interrogations sans réponse.
La base des noms a été établie avec la liste du ministère des affaires étrangères sans doute complice de l’OAS version Thierry Leclère. | Lire |
En Mars 2004 le même pseudo journaliste avait réalisé un documentaire « Algérie (s) » à la gloire du gouvernement algérien et des 150000 disparus entre 1992 & 1998.
L'Etat algérien a reconnu en 2005 que des "agents de l'Etat" étaient responsables de la disparition de 6.146 personnes entre 1992 et 1998, pour l’établissement des titres des pensions.
Nous sommes loin des 150000 personnes qui sont annoncées par l’approximatif journaliste Thierry Leclère de Télérama le journal des bobos. |