- Hervé Cuesta - Président
- Philippe PLACE, Vice-Président,
- Michel SALANON, Secrétaire Général,
- Jacques LARMANDE, Trésorier,
- Jean-Claude ROSSO, Conseiller pour les Disparus en Algérie,
Collectif national « NON au 19 mars 1962 »
Siège social : 148, rue du Sénégal - 83000 - TOULON Tél. 06 60 73 80 92 -
courriel : herve.cuesta@bbox.fr
Notre objectif est clair : rétablir la vérité historique sur le 19 mars 1962, mais surtout sur le terrible génocide qui s'en est suivi,
dans une totale indifférence du gouvernement de l'époque, complice du FLN algérien.
Aux côtés d'autres associations amies qui travaillent déjà efficacement sur ce sujet, nous souhaitons ajouter nos efforts aux leurs et combattre le défaitisme et la lâcheté de l'actuel gouvernement qui a osé, sur une proposition venue des rangs communistes, faire voter par le Sénat, le 8 novembre 2012, l'officialisation du 19 mars 1962, date des « accords d'Evian » entérinant un « cessez le feu » jamais respecté, comme étant la date officielle de la fin de la guerre d'Algérie et des combats au Maroc et en Tunisie.
Cette loi est une offense grave faite à la mémoire de toutes les victimes de la guerre d'Algérie, Pieds-Noirs, militaires et Harkis, et surtout à celles du véritable génocide déclenché après le 19 mars 1962, victimes dont le total avoisinerait les 150.000 martyrs, dont environ 3.000 « disparus ».
Il est évident que M. François HOLLANDE, actuel Président français, qui se rendra courant décembre en Algérie, pour y rencontrer son homologue algérien et néanmoins ennemi de la France, M. Abdelazziz BOUTEFLIKA (ancien membre du FLN algérien), a voulu remercier les musulmans de France qui ont voté pour lui, en laissant voter cette loi dont le seul but est de flatter le gouvernement algérien.
La France va continuer à s'humilier....jusqu'à quand ?
Tous ces sacrifiés au nom de « la raison d'Etat », torturés et massacrés après le 19 mars 1962 avec une barbarie épouvantable, dans l'indifférence générale d'une France métropolitaine amnésique, méritent que l'on honore leur mémoire en refusant la loi précitée. Notre Collectif fera tout pour qu'elle soit annulée un jour, avec l'aide d'une prochaine majorité de droite !
Nous allons avoir besoin d'un soutien actif, sous différentes formes, et notamment par des adhésions. |
