INAUGURATION ROND-POINT 19 MARS 1962, CESSEZ LE FEU EN ALGÉRIE A MONTAGNAC

       
 
 
Le comité FNACA (Fédération Nationale des Anciens Combattants en Algérie), en partenariat avec Roger Fages, Maire et Conseiller Général et le Conseil Municipal, ont donné naissance, pour le 50ème anniversaire du cessez le feu en Algérie, à l'inauguration ce 2 juin 2012 du « Rond-point 19 mars 1962 Cessez le Feu en Algérie », ancien rond-point de la cave coopérative à Montagnac.

Les présences de Kléber Mesquida, Député, Vice-Président du Conseil Général et Maire de St Pons, de Robert Tropéano, sénateur, de Roger Fages Conseiller Général et Maire de Montagnac, ainsi que nombreuses personnalités du département ont apporté à cet événement, un impact fort qui a permis de mettre en avant une volonté de souvenir vis à vis de tous les martyrs, de cette guerre de plus de 7 années subie par les soldats, les militaires, les civils, les harkis et les « pieds noirs »......

 

Manuel Pihol déclarait « Nous voilà sur un événement de la vie française dont nous sommes les témoins, aujourd'hui à Montagnac, une irremplaçable leçon d'histoire dans une démarche du Souvenir, d'écriture de la Vérité, d'une page commune à l'Algérie et la France, avec la volonté de croiser les mémoires dans un esprit de réconciliation.

   
       
     

Il est élu député le 16 juin 2002, pour la XIIe législature (2002-2007), dans la cinquième circonscription de l'Hérault. Il fait partie du groupe socialiste.
Candidat à sa réélection en tant que député PS, pour la XIIIe législature (2007-2012) dans la 5e circonscription de l'Hérault, il est réélu avec 52,31 % des suffrages.
Douaouda est crée le 5 juillet 1843 pour 70 familles franc-comptoises sur un territoire de 807 hectares.
La commune est instituée par décret pour la première fois le 6 août 1844 avant d'être réintégrée à celle de Koléa le 21 novembre 1851. Elle sera recrée le 3 avril 1908
Le village côtier de Douaouda Marine, appelée précédemment Boufarik-les-bains puis Douaouda-les-bains est devenue une importante station balnéaire à partir du début du 20e siècle
 
 
     
   

En 2008 voyage en Algérie , sous couvert d’investissement agricole !


Des sources bien informées ont confié qu’un parlementaire français, Mr Kléber Mesquida, préparait le retour en Algérie de 200 pieds noirs, originaires de la commune de Douaouda, dans la wilaya de Tipaza. Il a, en effet, profité de son séjour en Algérie, à l’invitation d’un organisme officiel, pour visiter la ville qui l’a vu naître, souhaitant renforcer les liens d’amitié entre les habitants de cette région, et les français qui y sont nés, et cela en vue d’un retour prochain de ces derniers.

     
 
 
     
 
Le parlementaire né à Douaouda le 03 Août 1945, était venu en Algérie le 20 octobre 2008 pour raison professionnelle, sur invitation de la direction générale des forêts, et qu’une fois sa mission officielle achevée, il avait décidé de revoir la maison où il était né à Douaouda, ainsi que l’église..
Précisant que celui-ci avait rencontré des habitants de la région, auxquels il avait décliné sa fonction, et clarifié qu’un des principaux objectifs de sa visite était de renforcer les liens d’amitié entre ses compatriotes nés à Douaouda e
Les intentions affichées d’investir dans le secteur agricole en Algérie, cachaient en réalité le dessein de certains pieds noirs de revenir dans leur pays d’origine. Mr Mesquida fait, en effet, partie d’une association nommée « l’association des amis de Douaouda », dont les membres n’ont pas caché leur souhait de revenir en Algérie si « les conditions le permettaient ». Il est apparu lors de la rencontre que le parlementaire se considérait en quelque sorte comme la courroie de transmission entre les algériens et les 200 français originaire de la région.
Rappelons par ailleurs que Mr Mesquida, est ancien ministre de l’équipement et a occupé plusieurs postes administratifs et politiques. Il est également membre de du collectif d’amitié franco-algérienne, parlementaire depuis 2002 et coordinateur de l’organisation du droit des paysans.
 
19 mars 1962 : ce ne fut pas un « cessez-le-feu » mais un permis de tuer et de torturer pour le FLN

Le 19 mars 1962 fut marqué par l’immense déshonneur de l’ordre donné à notre armée de désarmer les supplétifs fidèles, de ne plus intervenir, de ne plus secourir tout un peuple dans ses diverses composantes d’origine européenne ou maghrébine.

Par dizaines de milliers, les harkis furent abandonnés, livrés aux pires sévices dont la cruauté humaine monstrueuse est capable ; des compatriotes chrétiens, juifs ou musulmans furent enlevés, massacrés à proximité des casernes et des camps d’une armée française puissante.
Par centaines, des femmes de nos compatriotes, d’Oranie surtout mais d’autres régions aussi, furent enlevées, violées, emportées vers les maisons d’abattage de la soldatesque fellagha.

Dans l’indifférence complaisante du général Katz, le bourreau d’Oran, le très décoré complice de crimes contre l’humanité.

Le 19 mars signifiait aussi la mainmise par une nomenklatura socialiste corrompue et incapable sur un pays en plein développement, riche non seulement des infrastructures et de l’agriculture, fruits de l’œuvre française, mais encore de la manne gazière et pétrolière du Sahara qu’on lui abandonnait.

Et alors, par centaines de milliers, par millions, des Algériens immigreraient en France pour pouvoir faire survivre avec leurs salaires et secours sociaux leur riche pays livré à la gabegie de ceux qui en avaient chassé cette France où certains qui manquent de vergogne exigent de vivre mieux.


Commémorer le 19 mars 1962, c’est tout de même une belle ignominie, celle d’une continuité historique de non-repentance d’une grande abjection barbare.


 

Mise en ligne le 10 juin 2012 15H00 CET